Venanzi, en terrain conquis: «Je veux un titre tous les deux ans»
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Venanzi, en terrain conquis: «Je veux un titre tous les deux ans»
Tout frais président, Bruno Venanzi a pris la parole, hier, au traditionnel business meeting. Face à un parterre de sponsors ravis de son arrivée.
Un peu plus de 24 heures après son intronisation en tant que président, Bruno Venanzi reprenait la parole au Standard, hier. Non plus sur les hauteurs de l’Académie, face aux médias, mais à Sclessin, devant un parterre de VIP et sponsors du club, lors d’un business meeting devenu fameux depuis 2013 et une manifestation «anti-Duchâtelet» qui avait amené quatre à cinq mille supporters mécontents dans les rues de Sclessin.
L’ambiance était évidemment tout autre, hier. Et les applaudissements envers le nouveau président nettement plus soutenus. «Bravo», a même crié un invité, au milieu du discours du nouveau patron, qui a rappelé combien il était «fier, heureux et ému d’être là, devant vous.»
Le président a ensuite évoqué l’avenir: «Arriver à la tête d’un club n’est pas si difficile. Il est plus compliqué de mener à bien un projet ambitieux sur le long terme, et de veiller à gagner, grandir et s’améliorer.» Il n’a pas répété les propos tenus la veille, face à la presse, et hier matin, encore, sur La Première: «Je veux que le Standard remporte un titre tous les deux ans, Coupe ou championnat, avec une préférence pour le championnat.»
«“ Standard “, ça signifie un club de foot. “ Anderlecht ”: on ne sait pas de quoi on parle»
Il n’a pas non plus relancé la pique qu’il avait prononcée dans l’après-midi, au «Cercle du Lac», espace de rencontre entre entrepreneurs de Louvain-la-Neuve, où il était venu prendre la parole comme conférencier : «Le Standard est une marque. À l’étranger, cela signifie quelque chose. On sait qu’on parle d’un club de foot. Quand on parle de Bruges, on sait qu’on parle d’une ville. Et Anderlecht? On ne sait pas de quoi on parle.»
Le désamour que porte le nouveau président pour le Sporting bruxellois est manifestement du même ordre que celui de son prédécesseur. «Battre Anderlecht est toujours un grand plaisir pour moi », a-t-il confié dans un sourire, hier soir, à un ensemble de partenaires conquis.
MDR
Un peu plus de 24 heures après son intronisation en tant que président, Bruno Venanzi reprenait la parole au Standard, hier. Non plus sur les hauteurs de l’Académie, face aux médias, mais à Sclessin, devant un parterre de VIP et sponsors du club, lors d’un business meeting devenu fameux depuis 2013 et une manifestation «anti-Duchâtelet» qui avait amené quatre à cinq mille supporters mécontents dans les rues de Sclessin.
L’ambiance était évidemment tout autre, hier. Et les applaudissements envers le nouveau président nettement plus soutenus. «Bravo», a même crié un invité, au milieu du discours du nouveau patron, qui a rappelé combien il était «fier, heureux et ému d’être là, devant vous.»
Le président a ensuite évoqué l’avenir: «Arriver à la tête d’un club n’est pas si difficile. Il est plus compliqué de mener à bien un projet ambitieux sur le long terme, et de veiller à gagner, grandir et s’améliorer.» Il n’a pas répété les propos tenus la veille, face à la presse, et hier matin, encore, sur La Première: «Je veux que le Standard remporte un titre tous les deux ans, Coupe ou championnat, avec une préférence pour le championnat.»
«“ Standard “, ça signifie un club de foot. “ Anderlecht ”: on ne sait pas de quoi on parle»
Il n’a pas non plus relancé la pique qu’il avait prononcée dans l’après-midi, au «Cercle du Lac», espace de rencontre entre entrepreneurs de Louvain-la-Neuve, où il était venu prendre la parole comme conférencier : «Le Standard est une marque. À l’étranger, cela signifie quelque chose. On sait qu’on parle d’un club de foot. Quand on parle de Bruges, on sait qu’on parle d’une ville. Et Anderlecht? On ne sait pas de quoi on parle.»
Le désamour que porte le nouveau président pour le Sporting bruxellois est manifestement du même ordre que celui de son prédécesseur. «Battre Anderlecht est toujours un grand plaisir pour moi », a-t-il confié dans un sourire, hier soir, à un ensemble de partenaires conquis.
MDR
rego- Censuré titulaire
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Points : 366
Date d'inscription : 27/10/2013
Re: Venanzi, en terrain conquis: «Je veux un titre tous les deux ans»
Pathétique Venanzi qui pense entrer un jour dans la cour des grands en dénigrant son plus illustre adversaire. Il est juste bon à interner s'il croit vraiment à ses utopies.
PS: le cas qui a crié "Bravo!" en plein discours de Venanzi a été identifié. Il s'agirait d'un fan rouche bien connu sur les forums foot et répondant au pseudo justifié de Lambotomisé.
PS: le cas qui a crié "Bravo!" en plein discours de Venanzi a été identifié. Il s'agirait d'un fan rouche bien connu sur les forums foot et répondant au pseudo justifié de Lambotomisé.
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