Standard, voici les points faibles du Zenit !

lambotoro a écrit:DOCTEUR FOOT, MISTER JOHN - Les 3 raisons d'y croire pour des Rouches en plein boom : les Russes ont des problèmes de racisme, ils se prennent souvent pour des tsars et leur coach est surévalué.





Le Standard a autant de chance que le Zenit de Saint-Pétersbourg de se qualifier pour la suite de la Champions League. D'abord parce que Guy Luzon (et Roland Duchâtelet bien sûr !) prennent l'épreuve au sérieux et que les Russes ? une très belle équipe au demeurant ? ont quelques tares.
1/ Normalement, le Zenit a évidemment une puissance de feu supérieure à celle du Standard mais l'équipe russe souffre de problèmes de racisme, à la fois autour du terrain et dans les  vestiaires.  Des conflits larvés ont souvent pris de l'ampleur en coulisses, menant au retrait du brassard de capitaine de Nicolas Lombaerts.  Le tout sur un fond très inquiétant de racisme de la part des Ultras qui se vantent de ne pas avoir de joueur black dans les rangs de l'équipe.  Il faut se rappeler que Roberto Carlos avait un jour reçu des bananes au Zenit !  L'UEFA est intervenue la saison passée en fermant les tribunes des ultras et il faut espérer que cela ait résolu le problème?et que ça aidera le Standard qui aligne plusieurs de nos blacks préférés
2/ Je ne sais pas si ça a une influence sur le jeu du Zenit à domicile, mais il a souvent donné l'impression de prendre certains matches de haut la saison passée chez lui. A l'image d'un Lombaerts parfois très nonchalant.    Le club d' Axel Witsel et Lombaerts n'a terminé qu'à un point du champion russe, le CSKA Moscou, mais avait déjà été éliminé en octobre de la coupe nationale.
En poules de la Champions League, ils ont terminé deuxièmes mais ont concédé trois nuls chez eux : contre Porto et l' Atletico Madrid (chaque fois 1-1) et 0-0 contre l'Austria.  Et en février, en huitièmes,ils ont tout bazardé avec un 2-4 à domicile contre le Borussia Dortmund?même s'ils ont gagné 1-2 au retour et été éliminés aux tirs au but.
3/ Le club en pleine soupe aux choux a licencié son coach italien Luciano Spalletti en mars, remplacé dans la foulée par le surévalué wonderboy portugais André Villas-Boas après un petit intérim du T2  ex-joueur Sergei Semak.
Avec le Portugais, le Zenit a beaucoup gagné en fin de saison en championnat avant de retomber dans ses travers et de tout perdre à l'avant dernier match contre le Dynamo Moscou 0-3 ! De quoi mettre une nouvelle fois en perspective sa saison de feu avec Porto  (supercoupe du Portugal en 2010, championnat-coupe et Europa Ligue en 2011) par rapport à ses licenciements à Chelsea et chez les Spurs par la suite. Le gars est joli garçon et bon PR mais joue très gros.  La pression est sur le Zenit !

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