Match à six points pour Mons sur la pelouse du CS Bruges
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Match à six points pour Mons sur la pelouse du CS Bruges
Quand, à 17 ans, Pieterjan Monteyne a fait ses débuts en équipe première à Roulers, il ne s’imaginait pas devenir un élément inamovible de notre D1. « J’avais fait ma formation dans un club de D2, avec mes amis. Donc, c’est vrai que je ne pensais pas atteindre une telle longévité. »
À partie de ce week-end, il sera le joueur en activité ayant disputé le plus de matches en D1. Il atteindra en effet les 391 rencontres, à égalité avec Arnar Vidarsson, coach adjoint du Cercle qui ne devrait plus jouer. Un parcours sans faute pour le Montois. « J’atteins ce chiffre en 12 ans et demi. Cela veut dire que je joue pratiquement toujours. C’est l’une de mes principales qualités : mon club sait qu’il pourra toujours compter sur moi », sourit le Roularien, très sympathique mais d’une nature réservée. « C’est vrai que je suis très stable. Quand j’étais jeune, ce n’était pas forcément évident de ne pas m’amuser avec mes copains. Mais, maintenant, ça l’est davantage », poursuit ce père de famille comblé. Ce statut force forcément le respect mais ne pousse pas PJ réclamer un statut différent. « Bien sûr, je sens que mes équipiers me respectent. Mais je ne prends pas forcément plus de responsabilités pour autant. Vous savez, je suis quelqu’un d’assez discret. Je n’aime pas forcément prendre la parole et je ne change pas. Que j’aie 10 ou 300 matches au compteur ! C’est mon style, il faut l’accepter. »
Pourtant, Pieterjan sait prendre les choses en mains quand il le faut. « Vu le nombre d’années que j’ai passées au Beerschot, j’étais devenu l’un des relais entre les joueurs et la direction. J’ai donc parfois été amené à prendre mes responsabilités. Cela m’a quand même rendu plus fort mentalement. »
Pas inutile pour vivre la situation actuelle du club. « C’est vraiment difficile », reconnaît le gaucher. « Mais je reste positif. La priorité, c’est bien sûr de se maintenir en D1 avec l’Albert. » Où il est sous contrat jusqu’en juin 2015. Il ne s’agit d’ailleurs que de son deuxième club au sein de l’élite, après dix années passées au Beerschot. « C’est vrai, je n’aime pas tellement le changement. Et puis, à 23 ans, j’ai signé un contrat de cinq ans au Beerschot. À l’époque, si aucun club du top 5 ne s’intéressait à vous, le Beerschot était vraiment un excellent choix. Le club était très ambitieux. Nous n’avons malheureusement pas atteint les objectifs élevés qu’on nous fixait. Je pense en avoir été l’une des victimes de ce constat. Avec le recul, j’aurais dû signer pour un peu moins longtemps. Par contre, sur ce coup-là, le changement m’a fait un bien fou. » Car Monteyne se sent comme un poisson dans l’eau au stade Tondreau. « J’ai retrouvé le plaisir que j’avais perdu à la fin de mon bail au Beerschot. Vraiment, Mons est un club familial où je viens de passer deux belles saisons. »
Et où PJ aimerait poursuivre son bonhomme de chemin. « Bien sûr, ma priorité est de rester au sein de l’élite, avec l’Albert évidemment. Et pour y parvenir, nous devons diminuer l’écart entre Mons et les autres équipes menacées, comme Waasland et Louvain. D’ailleurs je sens un nouvel élan dans le groupe. La preuve avec notre point pris face à Zulte/Waregem. Nous sommes revenus dans le match alors que nous étions menés. » Vu son rythme de croisière et l’absence de concurrent sérieux à son poste, PJ passera le cap des 400 matches en D1 avec l’Albert cette saison. Pour le reste, tout dépendra forcément de l’avenir des Dragons. « Mais tout est encore possible pour nous. »
espéreront pour eux sa les relancerais sur le championnat
À partie de ce week-end, il sera le joueur en activité ayant disputé le plus de matches en D1. Il atteindra en effet les 391 rencontres, à égalité avec Arnar Vidarsson, coach adjoint du Cercle qui ne devrait plus jouer. Un parcours sans faute pour le Montois. « J’atteins ce chiffre en 12 ans et demi. Cela veut dire que je joue pratiquement toujours. C’est l’une de mes principales qualités : mon club sait qu’il pourra toujours compter sur moi », sourit le Roularien, très sympathique mais d’une nature réservée. « C’est vrai que je suis très stable. Quand j’étais jeune, ce n’était pas forcément évident de ne pas m’amuser avec mes copains. Mais, maintenant, ça l’est davantage », poursuit ce père de famille comblé. Ce statut force forcément le respect mais ne pousse pas PJ réclamer un statut différent. « Bien sûr, je sens que mes équipiers me respectent. Mais je ne prends pas forcément plus de responsabilités pour autant. Vous savez, je suis quelqu’un d’assez discret. Je n’aime pas forcément prendre la parole et je ne change pas. Que j’aie 10 ou 300 matches au compteur ! C’est mon style, il faut l’accepter. »
Pourtant, Pieterjan sait prendre les choses en mains quand il le faut. « Vu le nombre d’années que j’ai passées au Beerschot, j’étais devenu l’un des relais entre les joueurs et la direction. J’ai donc parfois été amené à prendre mes responsabilités. Cela m’a quand même rendu plus fort mentalement. »
Pas inutile pour vivre la situation actuelle du club. « C’est vraiment difficile », reconnaît le gaucher. « Mais je reste positif. La priorité, c’est bien sûr de se maintenir en D1 avec l’Albert. » Où il est sous contrat jusqu’en juin 2015. Il ne s’agit d’ailleurs que de son deuxième club au sein de l’élite, après dix années passées au Beerschot. « C’est vrai, je n’aime pas tellement le changement. Et puis, à 23 ans, j’ai signé un contrat de cinq ans au Beerschot. À l’époque, si aucun club du top 5 ne s’intéressait à vous, le Beerschot était vraiment un excellent choix. Le club était très ambitieux. Nous n’avons malheureusement pas atteint les objectifs élevés qu’on nous fixait. Je pense en avoir été l’une des victimes de ce constat. Avec le recul, j’aurais dû signer pour un peu moins longtemps. Par contre, sur ce coup-là, le changement m’a fait un bien fou. » Car Monteyne se sent comme un poisson dans l’eau au stade Tondreau. « J’ai retrouvé le plaisir que j’avais perdu à la fin de mon bail au Beerschot. Vraiment, Mons est un club familial où je viens de passer deux belles saisons. »
Et où PJ aimerait poursuivre son bonhomme de chemin. « Bien sûr, ma priorité est de rester au sein de l’élite, avec l’Albert évidemment. Et pour y parvenir, nous devons diminuer l’écart entre Mons et les autres équipes menacées, comme Waasland et Louvain. D’ailleurs je sens un nouvel élan dans le groupe. La preuve avec notre point pris face à Zulte/Waregem. Nous sommes revenus dans le match alors que nous étions menés. » Vu son rythme de croisière et l’absence de concurrent sérieux à son poste, PJ passera le cap des 400 matches en D1 avec l’Albert cette saison. Pour le reste, tout dépendra forcément de l’avenir des Dragons. « Mais tout est encore possible pour nous. »
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