Le marquis a t'il tout dit ?
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Le marquis a t'il tout dit ?
Comment ne pas mentir sans dire toute la vérité? Voilà donc la question qui aura taraudé un Bruno Venanzi sans doute perdu entre deux insomnies dans la nuit de mardi à mercredi.
Le nouveau président du Standard savait alors que quelques heures plus tard un bataillon de journalistes l'attendrait au pied de Sclessin pour arracher une confession, deux-trois aveux et quelques confidences au nouveau numéro 1.
Affable, courtois, diplomate, le camarade Venanzi aura géré l'exercice médiatique comme un vieil acrobate roué aux jeux du cirque. Parler sans tout dire. Confier sans tout lâcher. Dévoiler à condition de pouvoir cacher.
Car, ne nous cachons pas derrière un fil de fer ou une feuille de papier: l'idée selon laquelle Bruno Venanzi aurait repris seul les commandes du Standard, sans aucun autre partenaire financier, semble hautement improbable, quasiment impossible voire totalement inconcevable.
N'en déplaise à l'idée qu'il se fait de sa propre fortune, le boss de Lampiris ne possède pas encore les reins assez solides et le portefeuille assez épais pour reprendre le Standard dans son intégralité.
Reste donc à savoir qui l'y a aidé... Et c'est ici que la course aux soupçons peut véritablement commencer.
Plusieurs fois au cours des dernières semaines, Bruno Venanzi s'est entretenu avec le célèbre agent belge, Christophe Henrotay (et par la même occasion avec l'un de ses protégés, Daniel Van Buyten avec lequel Henrotay envisageait d'ailleurs de constituer une société).
Le hasard s'accommodant mal des coïncidences, certains se posent aujourd'hui la question de savoir quel rôle Henrotay a pu ou pourrait encore jouer dans cette reprise du Standard. L'agent belge numéro 1 reste en effet le premier ami "footeux" de Venanzi, le premier à l'avoir introduit à Sclessin, le premier aussi à avoir discrètement glissé à quelques journalistes en novembre dernier que son copain Bruno deviendrait rapidement président du Standard.
Incroyable mais vrai... Soit Christophe Henrotay possède des dons de divination dont d'autres clubs auraient tort de se priver, soit l'homme savait pertinemment bien quel plan se tramait dans les coulisses de Sclessin puisqu'il était lui-même l'une des clefs du dossier.
Reste à savoir si l'agent de Courtois, Mirallas ou Ferreira-Carrasco (après avoir perdu Lukaku et Musonda) a lui-même investi de l'argent dans la reprise du club liégeois. La question est ouverte mais le mystère sera vraisemblablement impossible à lever. Le montage financier auquel Bruno Venanzi vient à peine de se livrer relève en effet d'un numéro de trapéziste polonais que même les grands boursicoteurs ne pourront sans doute pas comprendre et détricoter.
Un indice peut toutefois inquiéter: il apparaît en effet de source sûre que Christophe Henrotay a récemment créé un "hedge fund" (un fond d'investissement), soit un véhicule financier excrément complexe lui permettant d'investir dans un anonymat impeccable et parfaitement respectable. L'a-t-il utilisé pour épauler son ami Venanzi dans ce dossier? La question mérite au moins d'être posée.
Passés les doutes et les questions, une certitude demeure ce soir au-dessus des bords de Meuse. Investisseur ou non, Christophe Henrotay vient aujourd'hui de retrouver ses entrées à Sclessin après y avoir été boycotté pendant deux ans par Roland Duchâtelet. Et c'est l'entrée des artistes qui lui sera cette fois réservée... Tout comme Mogi?
Le nouveau président du Standard savait alors que quelques heures plus tard un bataillon de journalistes l'attendrait au pied de Sclessin pour arracher une confession, deux-trois aveux et quelques confidences au nouveau numéro 1.
Affable, courtois, diplomate, le camarade Venanzi aura géré l'exercice médiatique comme un vieil acrobate roué aux jeux du cirque. Parler sans tout dire. Confier sans tout lâcher. Dévoiler à condition de pouvoir cacher.
Car, ne nous cachons pas derrière un fil de fer ou une feuille de papier: l'idée selon laquelle Bruno Venanzi aurait repris seul les commandes du Standard, sans aucun autre partenaire financier, semble hautement improbable, quasiment impossible voire totalement inconcevable.
N'en déplaise à l'idée qu'il se fait de sa propre fortune, le boss de Lampiris ne possède pas encore les reins assez solides et le portefeuille assez épais pour reprendre le Standard dans son intégralité.
Reste donc à savoir qui l'y a aidé... Et c'est ici que la course aux soupçons peut véritablement commencer.
Plusieurs fois au cours des dernières semaines, Bruno Venanzi s'est entretenu avec le célèbre agent belge, Christophe Henrotay (et par la même occasion avec l'un de ses protégés, Daniel Van Buyten avec lequel Henrotay envisageait d'ailleurs de constituer une société).
Le hasard s'accommodant mal des coïncidences, certains se posent aujourd'hui la question de savoir quel rôle Henrotay a pu ou pourrait encore jouer dans cette reprise du Standard. L'agent belge numéro 1 reste en effet le premier ami "footeux" de Venanzi, le premier à l'avoir introduit à Sclessin, le premier aussi à avoir discrètement glissé à quelques journalistes en novembre dernier que son copain Bruno deviendrait rapidement président du Standard.
Incroyable mais vrai... Soit Christophe Henrotay possède des dons de divination dont d'autres clubs auraient tort de se priver, soit l'homme savait pertinemment bien quel plan se tramait dans les coulisses de Sclessin puisqu'il était lui-même l'une des clefs du dossier.
Reste à savoir si l'agent de Courtois, Mirallas ou Ferreira-Carrasco (après avoir perdu Lukaku et Musonda) a lui-même investi de l'argent dans la reprise du club liégeois. La question est ouverte mais le mystère sera vraisemblablement impossible à lever. Le montage financier auquel Bruno Venanzi vient à peine de se livrer relève en effet d'un numéro de trapéziste polonais que même les grands boursicoteurs ne pourront sans doute pas comprendre et détricoter.
Un indice peut toutefois inquiéter: il apparaît en effet de source sûre que Christophe Henrotay a récemment créé un "hedge fund" (un fond d'investissement), soit un véhicule financier excrément complexe lui permettant d'investir dans un anonymat impeccable et parfaitement respectable. L'a-t-il utilisé pour épauler son ami Venanzi dans ce dossier? La question mérite au moins d'être posée.
Passés les doutes et les questions, une certitude demeure ce soir au-dessus des bords de Meuse. Investisseur ou non, Christophe Henrotay vient aujourd'hui de retrouver ses entrées à Sclessin après y avoir été boycotté pendant deux ans par Roland Duchâtelet. Et c'est l'entrée des artistes qui lui sera cette fois réservée... Tout comme Mogi?
loupnoir34- Censuré ballon d'or
- Messages : 7143
Points : 8888
Date d'inscription : 27/10/2013
Localisation : ANDERLECHT
Re: Le marquis a t'il tout dit ?
loupnoir34 a écrit:
Un indice peut toutefois inquiéter: il apparaît en effet de source sûre que Christophe Henrotay a récemment créé un "hedge fund" (un fond d'investissement), soit un véhicule financier excrément complexe lui permettant d'investir dans un anonymat impeccable et parfaitement respectable. L'a-t-il utilisé pour épauler son ami Venanzi dans ce dossier? La question mérite au moins d'être posée.
J'apprécie beaucoup la formule (très appropriée) quand on parle du Tandard !!!!
loupnoir34- Censuré ballon d'or
- Messages : 7143
Points : 8888
Date d'inscription : 27/10/2013
Localisation : ANDERLECHT
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