Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
+3
zebre270157
bidulski
david le rouche
7 participants
Page 1 sur 1
Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
Stefano Okaka est attendu ce mardi à Neerpede pour la visite médicale. Un événement : l’Italien sera un renfort de choix.
Il est attaquant, il est italien, il est black et il a du caractère. Ne croyez cependant pas qu’Anderlecht va remplacer son meilleur buteur Aleksandar Mitrovic par un clone de Mario Balotelli. Stefano Okaka est bien différent du joueur-flop de Liverpool. Avec l’avant de la Sampdoria, le Sporting s’offrira une recrue au potentiel presque sans limite, mais qui cherche juste un peu de stabilité.
Si sa page Wikipédia en italien le présente déjà comme un joueur d’Anderlecht, Stefano Okaka (26 ans dans quelques jours) n’a pas encore officiellement signé (sauf problème de dernière minute, il doit arriver ce mardi à Bruxelles pour passer sa visite médicale après avoir trouvé un accord financier avec le Sporting) dans un club qui sera son neuvième en dix années de carrière pro.
Une instabilité qui a deux fautifs : lui et un foot italien qui a du mal à faire confiance à ses jeunes promesses (même si la tendance est en train de changer doucement).
Lui car Okaka est arrivé dans le noyau A de la Roma alors qu’il n’avait que… quinze ans. Un vrai Fenomeno. Et comme Romelu Lukaku natif d’Anvers, pas de doute sur sa vraie date de naissance : il est né près de Pérouse dans le centre de la Botte. Une précocité incroyable qui a paradoxalement freiné son développement. Il a oublié de travailler les fondamentaux. “Un premier match de Serie A à seize ans, ce n’est pas simple à gérer, surtout à Rome”, reconnaît-il. “Des gens qui ne m’adressaient même pas la parole quelques mois plus tôt me demandaient subitement comme ami sur Facebook.”
S’ensuit toute une série de locations. La Roma le case à Modène, à Brescia, à Fulham puis à Bari. Juste avant son départ en Angleterre en 2010, son équipier Daniele De Rossi avoue son incompréhension dans la presse. “Je ne comprends pas pourquoi il part. Je l’aime bien et je m’étais déjà opposé à ses prêts précédents. Pour moi, il peut réussir à la Roma car il a vraiment toutes les qualités nécessaires.”
Jusqu’en 2014, Okaka n’inscrit que vingt-cinq buts. Insuffisant pour convaincre les dirigeants romains puis parmesans où il s’engage en 2012. L’attaquant commence même à douter de son avenir dans le football. “Jusqu’à une rencontre très importante pour moi à Parme : Antonio Cassano. Il me parlait beaucoup. Il m’a notamment dit cette phrase : “L’eau dans le ciel devient plus forte en descendant sur terre”. Bon, il se prenait un peu pour un météorologue mais ça m’a servi.” (rires)
Okaka signe alors à la Sampdoria en janvier 2014 avec le moral gonflé à bloc. Et cela paie : il explose en pointe et reçoit même sa première convocation avec la Squadra Azzurra. Le 18 novembre dernier, il monte au jeu et marque contre l’Albanie pour son unique cape.
Le conte de fée ne dure cependant pas longtemps : il retombe dans une certaine facilité. Quelques semaines plus tard, le bouillant Sinisa Mihajlovic, son coach à la Sampdoria, l’engueule copieusement durant une séance vidéo où Okaka est distrait. Il le renvoie chez lui et les noms d’oiseau résonnent dans toute la ville de Gênes. “Mais je l’ai invité au restaurant quelques jours plus tard”, témoigne Mihajlovic. “On s’est expliqué et j’ai payé la note. Je tiens trop à lui pour le perdre. J’aime vraiment ce gars-là.”
Tous ceux qui ont croisé la route d’Okaka tiennent le même discours : un chic type qui aime bien rigoler. “La comparaison avec Balotelli est vraiment injuste car Okaka est très différent. Pendant que Balotelli montre sa collection de bolides sur Instagram ou sa nouvelle fiancée, Okaka bosse ou regarde des vidéos de Martin Luther King, son modèle. D’ailleurs, il roule en Smart et ne dévoile rien sur sa vie amoureuse”, raconte un journaliste d’Il Secolo XIX, un quotidien de Gênes. “Stefano Okaka est un garçon très famille. Il est extrêmement proche de sa sœur jumelle Stefania, joueuse professionnelle de volley dans le championnat italien.”
Les jumeaux partagent d’ailleurs un tatouage commun derrière l’oreille. “Ce sont des étoiles. J’ai choisi cet endroit car je n’aime pas trop les tatouages et je ne voulais donc pas le voir en me regardant dans le miroir.” Oui, on est loin de Mario Balotelli.
Le Diable estime qu’Anderlecht va réaliser un coup de maître avec le transfert de l’attaquant italien. “C’est une vraie force de la nature. Il est incroyablement puissant. J’ai beaucoup suivi la Serie A la saison passée et il a été énorme avec la Sampdoria. Ses stats personnelles ne sont pas énormes, mais c’est surtout un gars qui fait marquer les autres. Dans un système à deux avants, l’autre offensif va se régaler. C’est aussi un mec qui bosse pour l’équipe, il n’hésite pas à défendre. Est-ce que je serai content de le recroiser ? Non ! J’aurais aimé qu’il signe à Malines, mais là c’est moi qui serai face à lui...” (rires)
Il est attaquant, il est italien, il est black et il a du caractère. Ne croyez cependant pas qu’Anderlecht va remplacer son meilleur buteur Aleksandar Mitrovic par un clone de Mario Balotelli. Stefano Okaka est bien différent du joueur-flop de Liverpool. Avec l’avant de la Sampdoria, le Sporting s’offrira une recrue au potentiel presque sans limite, mais qui cherche juste un peu de stabilité.
Si sa page Wikipédia en italien le présente déjà comme un joueur d’Anderlecht, Stefano Okaka (26 ans dans quelques jours) n’a pas encore officiellement signé (sauf problème de dernière minute, il doit arriver ce mardi à Bruxelles pour passer sa visite médicale après avoir trouvé un accord financier avec le Sporting) dans un club qui sera son neuvième en dix années de carrière pro.
Une instabilité qui a deux fautifs : lui et un foot italien qui a du mal à faire confiance à ses jeunes promesses (même si la tendance est en train de changer doucement).
Lui car Okaka est arrivé dans le noyau A de la Roma alors qu’il n’avait que… quinze ans. Un vrai Fenomeno. Et comme Romelu Lukaku natif d’Anvers, pas de doute sur sa vraie date de naissance : il est né près de Pérouse dans le centre de la Botte. Une précocité incroyable qui a paradoxalement freiné son développement. Il a oublié de travailler les fondamentaux. “Un premier match de Serie A à seize ans, ce n’est pas simple à gérer, surtout à Rome”, reconnaît-il. “Des gens qui ne m’adressaient même pas la parole quelques mois plus tôt me demandaient subitement comme ami sur Facebook.”
S’ensuit toute une série de locations. La Roma le case à Modène, à Brescia, à Fulham puis à Bari. Juste avant son départ en Angleterre en 2010, son équipier Daniele De Rossi avoue son incompréhension dans la presse. “Je ne comprends pas pourquoi il part. Je l’aime bien et je m’étais déjà opposé à ses prêts précédents. Pour moi, il peut réussir à la Roma car il a vraiment toutes les qualités nécessaires.”
Jusqu’en 2014, Okaka n’inscrit que vingt-cinq buts. Insuffisant pour convaincre les dirigeants romains puis parmesans où il s’engage en 2012. L’attaquant commence même à douter de son avenir dans le football. “Jusqu’à une rencontre très importante pour moi à Parme : Antonio Cassano. Il me parlait beaucoup. Il m’a notamment dit cette phrase : “L’eau dans le ciel devient plus forte en descendant sur terre”. Bon, il se prenait un peu pour un météorologue mais ça m’a servi.” (rires)
Okaka signe alors à la Sampdoria en janvier 2014 avec le moral gonflé à bloc. Et cela paie : il explose en pointe et reçoit même sa première convocation avec la Squadra Azzurra. Le 18 novembre dernier, il monte au jeu et marque contre l’Albanie pour son unique cape.
Le conte de fée ne dure cependant pas longtemps : il retombe dans une certaine facilité. Quelques semaines plus tard, le bouillant Sinisa Mihajlovic, son coach à la Sampdoria, l’engueule copieusement durant une séance vidéo où Okaka est distrait. Il le renvoie chez lui et les noms d’oiseau résonnent dans toute la ville de Gênes. “Mais je l’ai invité au restaurant quelques jours plus tard”, témoigne Mihajlovic. “On s’est expliqué et j’ai payé la note. Je tiens trop à lui pour le perdre. J’aime vraiment ce gars-là.”
Tous ceux qui ont croisé la route d’Okaka tiennent le même discours : un chic type qui aime bien rigoler. “La comparaison avec Balotelli est vraiment injuste car Okaka est très différent. Pendant que Balotelli montre sa collection de bolides sur Instagram ou sa nouvelle fiancée, Okaka bosse ou regarde des vidéos de Martin Luther King, son modèle. D’ailleurs, il roule en Smart et ne dévoile rien sur sa vie amoureuse”, raconte un journaliste d’Il Secolo XIX, un quotidien de Gênes. “Stefano Okaka est un garçon très famille. Il est extrêmement proche de sa sœur jumelle Stefania, joueuse professionnelle de volley dans le championnat italien.”
Les jumeaux partagent d’ailleurs un tatouage commun derrière l’oreille. “Ce sont des étoiles. J’ai choisi cet endroit car je n’aime pas trop les tatouages et je ne voulais donc pas le voir en me regardant dans le miroir.” Oui, on est loin de Mario Balotelli.
"C'est une force de la nature"
En début d’année 2011, Stefano Okaka a rejoint Bari en prêt, un club où Jean-François Gillet était le capitaine. “J’ai le souvenir d’un bon gars”, explique le gardien de Malines. “On dit qu’il a parfois mauvaise réputation, mais je n’ai vraiment rien vu de tout ça. Il bossait et il écoutait. Bon, c’est un vrai Romain qui rigole et parle avec les mains mais rien de dérangeant. Malheureusement, il s’était rapidement blessé à l’épaule et on n’avait pas pu profiter de son talent comme on l’aurait aimé. Il avait tout de même marqué le seul but d’un derby des Pouilles très chaud contre Lecce.”Le Diable estime qu’Anderlecht va réaliser un coup de maître avec le transfert de l’attaquant italien. “C’est une vraie force de la nature. Il est incroyablement puissant. J’ai beaucoup suivi la Serie A la saison passée et il a été énorme avec la Sampdoria. Ses stats personnelles ne sont pas énormes, mais c’est surtout un gars qui fait marquer les autres. Dans un système à deux avants, l’autre offensif va se régaler. C’est aussi un mec qui bosse pour l’équipe, il n’hésite pas à défendre. Est-ce que je serai content de le recroiser ? Non ! J’aurais aimé qu’il signe à Malines, mais là c’est moi qui serai face à lui...” (rires)
david le rouche- Censuré titulaire
- Messages : 312
Points : 383
Date d'inscription : 27/10/2013
Age : 47
Localisation : Corbais
Re: Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
Un commentaire de Philippe Lacourt.
En football, faut-il le rappeler, seul le résultat de l’instant compte, car il construit les palmarès que l’on regardera demain avec envie. Une vérité qui condamne les clubs ambitieux, comme l’est assurément Anderlecht, à éviter de se prendre les pieds dans le tapis quand ils façonnent leur équipe.
Orphelin d’un Mitrovic sur le dos duquel il a finalement scellé une opération financière très rentable, le Sporting se doit donc, aujourd’hui, de placer en pointe de son attaque un joueur capable de jongler avec le talent et l’efficacité. Deux qualités qui n’habitent pas les pieds d’un Suarez perpétuellement à la limite de la rupture, ni un Sylla auquel il faudra, soyez-en conscients, au minimum cinq occasions pour en concrétiser une. Reste, alors, à décrypter le mystère Ezekiel. Celui qui vient de tourner sa veste rouge pour du mauve dernier cri, a-t-il le profil qui peut faire se pâmer d’admiration un Parc Astrid que l’on sait exigeant ? Pas sûr ! Ezekiel va vite, il est puissant, sa frappe est appréciable, son jeu de tête suffisant, mais tout cela n’en fait pas ce buteur racé dont l’attaque du Sporting a tant besoin…
Face à tant d’interrogations qui ont miné le parcours des Mauves lors des défunts playoffs et pas plus tard que dimanche dernier à l’occasion de son match d’ouverture de la nouvelle saison, Anderlecht a donc décidé d’abattre son joker de l’été : Stefano Okaka !
Qui c’est celui-là, crient à l’unisson les abonnés du stade Constant Vanden Stock ? On les comprend. A l’exception des vrais fanas de foot, ceux qui ont perpétuellement la tête plongée dans les stats du calcio, ou ceux qui ne décollent jamais leurs yeux des tubes cathodiques qui alimentent les chaînes branchées sur le championnat d’Italie, tous les autres ont du mal à jauger les capacités de celui qui fut, laissons-lui cela, repris au moins une fois au sein de la Squadra. Sur ces bases-là, il ne peut donc constituer qu’un plus pour l’armada anderlechtoise. Mais à y regarder de plus près, on se permet, par expérience, de nourrir quelques doutes.
Pourquoi, si Okaka est aussi fort qu’Anderlecht essaye de le faire croire, a-t-il transité par… 8 clubs en 10 ans de carrière pro ? Une instabilité qui ne va pas sans inquiéter. Car si, oui, et on l’admettra aisément, il est possible de se tromper d’auberge une, deux, voire trois fois, en changer neuf fois (Anderlecht devient son neuvième club consécutif) en dix ans dépasse le simple cadre de l’erreur de casting.
Manifestement l’attaquant italien souffre d’une instabilité chronique qui aurait de quoi faire fuir le premier employeur venu, sauf si, visiblement, il se nomme… Anderlecht. Bien sûr, rien n’interdit d’imaginer qu’Anderlecht a frappé juste. Donc que notre ami Okaka, à Bruxelles, s’enracine dans la stabilité et l’efficacité. Tant mieux si c’est ce scénario-là qui vient enrober une histoire d’amour entre un club et son dernier transfert en date. Mais si le scénario tourne à la dramatique, avec un fenomeno mué en disastro, Anderlecht risque encore, en plus d’être la risée de tous, de passer à nouveau à côté de ses objectifs prioritaires.
En football, faut-il le rappeler, seul le résultat de l’instant compte, car il construit les palmarès que l’on regardera demain avec envie. Une vérité qui condamne les clubs ambitieux, comme l’est assurément Anderlecht, à éviter de se prendre les pieds dans le tapis quand ils façonnent leur équipe.
Orphelin d’un Mitrovic sur le dos duquel il a finalement scellé une opération financière très rentable, le Sporting se doit donc, aujourd’hui, de placer en pointe de son attaque un joueur capable de jongler avec le talent et l’efficacité. Deux qualités qui n’habitent pas les pieds d’un Suarez perpétuellement à la limite de la rupture, ni un Sylla auquel il faudra, soyez-en conscients, au minimum cinq occasions pour en concrétiser une. Reste, alors, à décrypter le mystère Ezekiel. Celui qui vient de tourner sa veste rouge pour du mauve dernier cri, a-t-il le profil qui peut faire se pâmer d’admiration un Parc Astrid que l’on sait exigeant ? Pas sûr ! Ezekiel va vite, il est puissant, sa frappe est appréciable, son jeu de tête suffisant, mais tout cela n’en fait pas ce buteur racé dont l’attaque du Sporting a tant besoin…
Face à tant d’interrogations qui ont miné le parcours des Mauves lors des défunts playoffs et pas plus tard que dimanche dernier à l’occasion de son match d’ouverture de la nouvelle saison, Anderlecht a donc décidé d’abattre son joker de l’été : Stefano Okaka !
Qui c’est celui-là, crient à l’unisson les abonnés du stade Constant Vanden Stock ? On les comprend. A l’exception des vrais fanas de foot, ceux qui ont perpétuellement la tête plongée dans les stats du calcio, ou ceux qui ne décollent jamais leurs yeux des tubes cathodiques qui alimentent les chaînes branchées sur le championnat d’Italie, tous les autres ont du mal à jauger les capacités de celui qui fut, laissons-lui cela, repris au moins une fois au sein de la Squadra. Sur ces bases-là, il ne peut donc constituer qu’un plus pour l’armada anderlechtoise. Mais à y regarder de plus près, on se permet, par expérience, de nourrir quelques doutes.
Pourquoi, si Okaka est aussi fort qu’Anderlecht essaye de le faire croire, a-t-il transité par… 8 clubs en 10 ans de carrière pro ? Une instabilité qui ne va pas sans inquiéter. Car si, oui, et on l’admettra aisément, il est possible de se tromper d’auberge une, deux, voire trois fois, en changer neuf fois (Anderlecht devient son neuvième club consécutif) en dix ans dépasse le simple cadre de l’erreur de casting.
Manifestement l’attaquant italien souffre d’une instabilité chronique qui aurait de quoi faire fuir le premier employeur venu, sauf si, visiblement, il se nomme… Anderlecht. Bien sûr, rien n’interdit d’imaginer qu’Anderlecht a frappé juste. Donc que notre ami Okaka, à Bruxelles, s’enracine dans la stabilité et l’efficacité. Tant mieux si c’est ce scénario-là qui vient enrober une histoire d’amour entre un club et son dernier transfert en date. Mais si le scénario tourne à la dramatique, avec un fenomeno mué en disastro, Anderlecht risque encore, en plus d’être la risée de tous, de passer à nouveau à côté de ses objectifs prioritaires.
david le rouche- Censuré titulaire
- Messages : 312
Points : 383
Date d'inscription : 27/10/2013
Age : 47
Localisation : Corbais
Re: Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
"Le RSCA est heureux de présenter ce mardi 28 juillet son nouvel attaquant Stefano Okaka. La conférence de presse a lieu au centre d’entraînement de Neerpede à 16h30". Par cette déclaration officielle des dirigeants du Sporting, on peut en conclure que l’attaquant est bel et bien devenu un Anderlechtois. Et ce, pour les quatre prochaines saisons.
bidulski- Censuré titulaire
- Messages : 571
Points : 703
Date d'inscription : 27/10/2013
Re: Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
Un commentaire de Philippe Lacourt.
il ne prend aucun risque lui.Si ça va bravo , si ça ne va pas bouhhh
il ne prend aucun risque lui.Si ça va bravo , si ça ne va pas bouhhh
zebre270157- Censuré ballon d'or
- Messages : 5088
Points : 5143
Date d'inscription : 27/10/2013
Re: Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
ont verra déjà ce que ça donne samedi contre ohl l'avantage avec okaka ces qu'il doit être habitué a jouer contre des défense regroupé
Invité- Invité
Re: Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
Mais qu'il aille se cacher ce Lacourte...david le rouche a écrit:Un commentaire de Philippe Lacourt.
le Sporting se doit donc, aujourd’hui, de placer en pointe de son attaque un joueur capable de jongler avec le talent et l’efficacité. Deux qualités qui n’habitent pas les pieds d’un Suarez perpétuellement à la limite de la rupture,
Nostalgeek7- Censuré titulaire
- Messages : 778
Points : 931
Date d'inscription : 02/11/2013
Age : 42
Localisation : Mont sur Marchienne
Exar19- Censuré titulaire
- Messages : 259
Points : 282
Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 30
Localisation : Braine-l'Alleud
Re: Avec Okaka, Anderlecht tient son Fenomeno
Il devra quand même faire remonter ses stats.
gromelot- Censuré titulaire
- Messages : 312
Points : 321
Date d'inscription : 27/10/2013
Age : 49
Localisation : Quelque part à l'est
zebre270157- Censuré ballon d'or
- Messages : 5088
Points : 5143
Date d'inscription : 27/10/2013
Sujets similaires
» Anderlecht tient enfin son 12e homme
» Kanu divorce avec le Standard pour se marier avec Anderlecht?
» Anderlecht, avec un super Proto, revient avec 3 points de Lokeren
» Anderlecht vit sa pire saison depuis 34 ans... mais van den Brom tient bon!
» Anderlecht 1er avec 79 interdits de stade
» Kanu divorce avec le Standard pour se marier avec Anderlecht?
» Anderlecht, avec un super Proto, revient avec 3 points de Lokeren
» Anderlecht vit sa pire saison depuis 34 ans... mais van den Brom tient bon!
» Anderlecht 1er avec 79 interdits de stade
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|