Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
2 participants
Page 1 sur 1
Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
Quand vous avez repris le Standard, vous êtes un peu apparu comme le sauveur du club. Aujourd'hui, on a le sentiment que l'état de grâce est terminé !
BRUNO VENANZI: A vrai dire, je ne me pose pas ce genre de question. Je sais que le Standard est un club particulièrement difficile à gérer. Mais de toute façon, un club de football, comme une entreprise, ce n'est pas facile à gérer. Ici, au Standard, il y a en plus un aspect émotionnel qui est très important et que je connais en tant que supporter. Alors, état de grâce ou pas état de grâce, peu importe. Je sais qu'il me faudra du temps pour remettre l'église au milieu du village. Les chiffres ne sont pas bons. Je le savais en reprenant le club et je connaissais aussi les risques inhérents à ce genre de métier, a fortiori quand les résultats ne sont pas bons...
Vous parlez des résultats sportifs ou financiers ?
Financiers. Moi, je veux retrouver un équilibre le plus rapidement possible et je sais que c'est jouable, tout en ayant des résultats sportifs dignes d'un club comme le Standard.
Aujourd'hui, que reste-t-il dans les caisses du club ?
Rien ! Enfin, j'exagère. Il reste 2 millions, ce qui n'est rien pour la gestion d'un tel club.
Vous avez d'ailleurs dû vous séparer d'un nombre important de joueurs en ce début de saison pour réduire les coûts. Cela a forcément un impact sur les résultats sportifs...
Il y avait une grosse masse salariale avant mon arrivée parce que la politique de Duchâtelet était différente. Il s'agissait d'une politique "multi-clubs" avec le Standard comme vache à lait. Je pense par exemple à un joueur qui a été acheté 1,5 million d'euros il y a un an et qui a été vendu six mois plus tard à un club frère appartenant à la "galaxie Duchâtelet", comme disent les journalistes. Et cela pour 0 euros ! C'est une fameuse moins-value pour le Standard. Ce n'est pas normal.
Il y avait 50 joueurs sous contrat quand vous avez repris le club. Aujourd'hui, combien en reste-t-il ?
Il en reste 27, ce qui est un ratio tout à fait normal par rapport aux autres clubs belges comme Anderlecht ou Bruges. Donc, oui, le nombre de joueurs a diminué, mais la qualité est toujours là. Il faut simplement que la nouvelle équipe se mette en place car il y a eu beaucoup de changements. En revanche, grâce à cela, la masse salariale a diminué de 5 millions. Elle passe de 17 millions à 12 millions. C'est important quand on sait que le club affiche près de 6 millions de perte pour la saison dernière...
Quels sont vos objectifs financiers pour le Standard ?
Pour cette saison, je vise le retour à l'équilibre. Pareil pour la saison suivante. En revanche, pour la saison 2017-2018, nous devrions recommencer à faire des bénéfices, ce qui va nous permettre de faire de nouveaux investissements. Le but est évidemment de rendre l'entreprise rentable, ce qu'elle n'est plus aujourd'hui.
Ce ne sera pas facile puisque vous avez déclaré il y a trois semaines sur Club RTL : "Je savais que j'achetais une maison à rénover, mais je ne pensais pas que les fondations étaient aussi touchées". Il y a des vices cachés au Standard ?
Oui. J'en découvre tous les jours. Lesquels ? Je communiquerai là-dessus ultérieurement. Je suis en train de faire un rapport car il y a des choses que je ne comprends pas. Par exemple, quand j'étais en phase finale de due diligence, j'ai demandé quels étaient les plans financiers et les besoins en trésorerie des prochaines semaines et des prochains mois. Et cela n'existait pas ! J'ai donc interrogé le responsable de la comptabilité qui m'a répondu : "J'ai fait des plans de trésorerie jusqu'à l'arrivée de Roland Duchâtelet et quand je lui ai présenté mes plans comme je le faisais avec la direction précédente, Duchâtelet m'a répondu qu'il n'avait pas besoin de ça et que si le club avait besoin d'argent, il en remettrait lui-même". C'est étonnant de la part d'un homme d'affaires. Pour le dire vulgairement, je suis tombé sur le cul !
Vous voulez dire que le Standard sous Duchâtelet, c'était une gestion "au petit bonheur la chance", sans une réelle vision d'entreprise ?
Voilà. Le plus étonnant, c'est qu'il mettait quand même en place des stratégies au niveau fiscal pour payer le moins d'impôts possible. Il y avait une recherche avec, parfois, des montages alambiqués pour économiser 1.000 ou 2.000 euros sur le salaire d'un employé. En même temps, on trouve des factures à 200.000 euros pour des agents de joueurs alors que ça ne se justifie pas. Donc, je ne comprends pas.
Cela veut dire que vous êtes amené à revoir Duchâtelet pour clarifier la situation ?
Bien sûr ! Appelons un chat un chat : je lui réclame une partie de l'argent qui est conservé parce qu'il y a des erreurs dans la comptabilité. Ce ne sont pas des sommes astronomiques, mais quand on achète une entreprise, on définit un prix et puis il y a des clauses qui vont sur une période d'un an, deux ans ou trois ans avec des sommes qui sont bloquées et puis libérées quand les clauses sont respectées. Je ne pense pas qu'il y ait eu de mauvaises intentions de la part de la direction précédente, mais encore une fois, il y a des erreurs dans la comptabilité que je veux éclaircir.
Vous arrivez à en discuter de manière sereine avec Duchâtelet ?
Cela se discute entre financiers. Le mien et le sien. Ce sont des adultes intelligents (sourire).
Est-ce que, malgré tout, vous vous dites aujourd'hui : "J'ai fait une bonne affaire avec le Standard" ?
Je ne pourrai le dire que dans 10 ou 15 ans. C'est comme quand vous achetez des actions. Je dis toujours : acheter des actions, c'est très facile ; savoir quand les vendre, c'est autre chose.
On sait à présent que Duchâtelet s'est servi deux fois dans les dividendes du club : 20 millions en 2013, et puis 10 millions juste avant la revente. Ce qui fait 30 millions dans sa poche, plus son important salaire sur quatre ans et le montant de la vente pour plusieurs millions, alors qu'il avait racheté le Standard pour 32 millions d'euros...
Je sais que Roland a fait une bonne affaire et c'est tant mieux pour lui. Maintenant, en a-t-il retiré une satisfaction ? Si on s'en tient uniquement à l'aspect financier, il peut en être satisfait, très satisfait même. Encore une fois, tant mieux pour lui. Mais s'il ne vit qu'avec des satisfactions financières et quand on voit ce qu'il s'est passé au Standard avec lui, je dis : pauvre homme !
Par Frédéric Brébant
BRUNO VENANZI: A vrai dire, je ne me pose pas ce genre de question. Je sais que le Standard est un club particulièrement difficile à gérer. Mais de toute façon, un club de football, comme une entreprise, ce n'est pas facile à gérer. Ici, au Standard, il y a en plus un aspect émotionnel qui est très important et que je connais en tant que supporter. Alors, état de grâce ou pas état de grâce, peu importe. Je sais qu'il me faudra du temps pour remettre l'église au milieu du village. Les chiffres ne sont pas bons. Je le savais en reprenant le club et je connaissais aussi les risques inhérents à ce genre de métier, a fortiori quand les résultats ne sont pas bons...
Vous parlez des résultats sportifs ou financiers ?
Financiers. Moi, je veux retrouver un équilibre le plus rapidement possible et je sais que c'est jouable, tout en ayant des résultats sportifs dignes d'un club comme le Standard.
Aujourd'hui, que reste-t-il dans les caisses du club ?
Rien ! Enfin, j'exagère. Il reste 2 millions, ce qui n'est rien pour la gestion d'un tel club.
Vous avez d'ailleurs dû vous séparer d'un nombre important de joueurs en ce début de saison pour réduire les coûts. Cela a forcément un impact sur les résultats sportifs...
Il y avait une grosse masse salariale avant mon arrivée parce que la politique de Duchâtelet était différente. Il s'agissait d'une politique "multi-clubs" avec le Standard comme vache à lait. Je pense par exemple à un joueur qui a été acheté 1,5 million d'euros il y a un an et qui a été vendu six mois plus tard à un club frère appartenant à la "galaxie Duchâtelet", comme disent les journalistes. Et cela pour 0 euros ! C'est une fameuse moins-value pour le Standard. Ce n'est pas normal.
Il y avait 50 joueurs sous contrat quand vous avez repris le club. Aujourd'hui, combien en reste-t-il ?
Il en reste 27, ce qui est un ratio tout à fait normal par rapport aux autres clubs belges comme Anderlecht ou Bruges. Donc, oui, le nombre de joueurs a diminué, mais la qualité est toujours là. Il faut simplement que la nouvelle équipe se mette en place car il y a eu beaucoup de changements. En revanche, grâce à cela, la masse salariale a diminué de 5 millions. Elle passe de 17 millions à 12 millions. C'est important quand on sait que le club affiche près de 6 millions de perte pour la saison dernière...
Quels sont vos objectifs financiers pour le Standard ?
Pour cette saison, je vise le retour à l'équilibre. Pareil pour la saison suivante. En revanche, pour la saison 2017-2018, nous devrions recommencer à faire des bénéfices, ce qui va nous permettre de faire de nouveaux investissements. Le but est évidemment de rendre l'entreprise rentable, ce qu'elle n'est plus aujourd'hui.
Ce ne sera pas facile puisque vous avez déclaré il y a trois semaines sur Club RTL : "Je savais que j'achetais une maison à rénover, mais je ne pensais pas que les fondations étaient aussi touchées". Il y a des vices cachés au Standard ?
Oui. J'en découvre tous les jours. Lesquels ? Je communiquerai là-dessus ultérieurement. Je suis en train de faire un rapport car il y a des choses que je ne comprends pas. Par exemple, quand j'étais en phase finale de due diligence, j'ai demandé quels étaient les plans financiers et les besoins en trésorerie des prochaines semaines et des prochains mois. Et cela n'existait pas ! J'ai donc interrogé le responsable de la comptabilité qui m'a répondu : "J'ai fait des plans de trésorerie jusqu'à l'arrivée de Roland Duchâtelet et quand je lui ai présenté mes plans comme je le faisais avec la direction précédente, Duchâtelet m'a répondu qu'il n'avait pas besoin de ça et que si le club avait besoin d'argent, il en remettrait lui-même". C'est étonnant de la part d'un homme d'affaires. Pour le dire vulgairement, je suis tombé sur le cul !
Vous voulez dire que le Standard sous Duchâtelet, c'était une gestion "au petit bonheur la chance", sans une réelle vision d'entreprise ?
Voilà. Le plus étonnant, c'est qu'il mettait quand même en place des stratégies au niveau fiscal pour payer le moins d'impôts possible. Il y avait une recherche avec, parfois, des montages alambiqués pour économiser 1.000 ou 2.000 euros sur le salaire d'un employé. En même temps, on trouve des factures à 200.000 euros pour des agents de joueurs alors que ça ne se justifie pas. Donc, je ne comprends pas.
Cela veut dire que vous êtes amené à revoir Duchâtelet pour clarifier la situation ?
Bien sûr ! Appelons un chat un chat : je lui réclame une partie de l'argent qui est conservé parce qu'il y a des erreurs dans la comptabilité. Ce ne sont pas des sommes astronomiques, mais quand on achète une entreprise, on définit un prix et puis il y a des clauses qui vont sur une période d'un an, deux ans ou trois ans avec des sommes qui sont bloquées et puis libérées quand les clauses sont respectées. Je ne pense pas qu'il y ait eu de mauvaises intentions de la part de la direction précédente, mais encore une fois, il y a des erreurs dans la comptabilité que je veux éclaircir.
Vous arrivez à en discuter de manière sereine avec Duchâtelet ?
Cela se discute entre financiers. Le mien et le sien. Ce sont des adultes intelligents (sourire).
Est-ce que, malgré tout, vous vous dites aujourd'hui : "J'ai fait une bonne affaire avec le Standard" ?
Je ne pourrai le dire que dans 10 ou 15 ans. C'est comme quand vous achetez des actions. Je dis toujours : acheter des actions, c'est très facile ; savoir quand les vendre, c'est autre chose.
On sait à présent que Duchâtelet s'est servi deux fois dans les dividendes du club : 20 millions en 2013, et puis 10 millions juste avant la revente. Ce qui fait 30 millions dans sa poche, plus son important salaire sur quatre ans et le montant de la vente pour plusieurs millions, alors qu'il avait racheté le Standard pour 32 millions d'euros...
Je sais que Roland a fait une bonne affaire et c'est tant mieux pour lui. Maintenant, en a-t-il retiré une satisfaction ? Si on s'en tient uniquement à l'aspect financier, il peut en être satisfait, très satisfait même. Encore une fois, tant mieux pour lui. Mais s'il ne vit qu'avec des satisfactions financières et quand on voit ce qu'il s'est passé au Standard avec lui, je dis : pauvre homme !
Par Frédéric Brébant
rego- Censuré titulaire
- Messages : 268
Points : 366
Date d'inscription : 27/10/2013
Re: Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
C’est suite à la parution de l’information dans le Moniteur belge que la société anonyme Standard de Liége a tenu à réagir.
Voici le communiqué :
Suite à l’information (publiée au Moniteur Belge) relative au fait que la Standard de Liège SA a subi une réduction de capital de 10 millions d’euros lors du dernier exercice, le Standard de Liège tient à vous apporter la précision suivante :
Avant le rachat du club par Bruno VENANZI, l’ancien actionnariat a retiré 10 millions d’euros de la Standard de Liège SA (un peu sur le même principe que ce qui avait déjà eu lieu en 2013 (20 millions d’euros).
Le nouvel actionnariat était informé de cette opération qui a influencé évidemment le montant de rachat du club en juin dernier.
Voici le communiqué :
Suite à l’information (publiée au Moniteur Belge) relative au fait que la Standard de Liège SA a subi une réduction de capital de 10 millions d’euros lors du dernier exercice, le Standard de Liège tient à vous apporter la précision suivante :
Avant le rachat du club par Bruno VENANZI, l’ancien actionnariat a retiré 10 millions d’euros de la Standard de Liège SA (un peu sur le même principe que ce qui avait déjà eu lieu en 2013 (20 millions d’euros).
Le nouvel actionnariat était informé de cette opération qui a influencé évidemment le montant de rachat du club en juin dernier.
rego- Censuré titulaire
- Messages : 268
Points : 366
Date d'inscription : 27/10/2013
Re: Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
Venanzi ressemble à un jeune coq immature que l'on introduit dans une basse cour pour redynamiser l'élevage. Dès son arrivée il gonfle ses pectoraux, chante n'importe quoi sur tous les fumiers, poursuit les intrus mais en finalité c'est toujours le vieux coqs qui se tape les poulettes.
Re: Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
Le chantre rouche continue ses jérémiades médiatiques et se rapproche de l'insulte:
« Je sais que Roland a fait une bonne affaire, tant mieux pour lui. (…) Mais s’il ne vit qu’avec des satisfactions financières et quand on voit ce qu’il s’est passé au Standard avec lui, je dis : pauvre homme ! »
Pauvre type !!!!!!!!!!!!!!
« Je sais que Roland a fait une bonne affaire, tant mieux pour lui. (…) Mais s’il ne vit qu’avec des satisfactions financières et quand on voit ce qu’il s’est passé au Standard avec lui, je dis : pauvre homme ! »
Pauvre type !!!!!!!!!!!!!!
Re: Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
Réponse de ce grand Monsieur qu'est Monsieur Duchatelet:
"Même s’il n’était pas certain qu’il reprendrait le club jusqu’au jour où il l’a fait, la probabilité était forte. En pratique, au mois de novembre, je lui ai cédé mon bureau à Sclessin et dès la publication dans le Moniteur un mois après, c’est lui qui signait tout pour le Standard en tant que vice-président"
C'est là que l'on voit que Venanzi ment pour se couvrir de la furia des supporters, il était bel et bien au courant de tout.
"Même s’il n’était pas certain qu’il reprendrait le club jusqu’au jour où il l’a fait, la probabilité était forte. En pratique, au mois de novembre, je lui ai cédé mon bureau à Sclessin et dès la publication dans le Moniteur un mois après, c’est lui qui signait tout pour le Standard en tant que vice-président"
C'est là que l'on voit que Venanzi ment pour se couvrir de la furia des supporters, il était bel et bien au courant de tout.
Re: Bruno Venanzi : "Je réclame à Roland Duchâtelet une partie de l'argent qui est conservé"
Duchâtelet: "J'ai l'habitude d'être le bouc émissaire"
Attaqué, Roland Duchâtelet a réagi dans une auto-interview. Il s'explique d'abord par rapport à la polémique sur la masse salariale excessive. "Certains ont joué l'homme. La stratégie est inspirée de ce qui se fait à Porto et Benfica. Ils parviennent à faire une plus-value sur leurs joueurs grâce à leurs prestations européennes. J'ai toujours dit que le Standard pouvait combler son déficit par la revente de joueurs pour 10 millions d'euros par saison", réagit-il. (...) "Sur le plan financier, le club a fait des bénéfices, comme lors de la période D'Onofrio. Le plus important c'est que les employés, les joueurs et les fournisseurs ont toujours été payés à temps", prolonge-t-il.Sa relation avec Venanzi?
"Elle était excellente. Mais depuis fin août, il était difficile de le contacter. Il m'a appelé avant-hier. Peut-être était-il gêné de m'avoir égratigné un peu. Mais je ne lui en veux pas; j'ai l'habitude depuis deux ans d'être le bouc émissaire de tout ce qui ne va pas au Standard", déclare-t-il (DH). "Tout comme moi, il a commis un certain nombre d'erreurs. Qui est irréprochable? Gérer un club comme le Standard est terriblement difficile. Je suis sûr qu'il peut devenir le président que les fans attendent. Laissez-lui un peu de temps".
rego- Censuré titulaire
- Messages : 268
Points : 366
Date d'inscription : 27/10/2013
Sujets similaires
» Duchâtelet quitte le navire, Bruno Venanzi à la tête du Standard !
» Roland Duchâtelet vendra-t-il un joueur à ... Roland Duchâtelet?
» Qui es-tu Bruno Venanzi ?
» le président Bruno Venanzi, irrité par les sorties médiatiques de Slavo Muslin
» Roland Duchâtelet rachète Alcorcon...
» Roland Duchâtelet vendra-t-il un joueur à ... Roland Duchâtelet?
» Qui es-tu Bruno Venanzi ?
» le président Bruno Venanzi, irrité par les sorties médiatiques de Slavo Muslin
» Roland Duchâtelet rachète Alcorcon...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|