Anderlecht n'est pas catastrophique comme le PSV...
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Anderlecht n'est pas catastrophique comme le PSV...
Anderlecht n'est pas catastrophique comme le PSV
Ce soir à Athènes, le Sporting d'Anderlecht jouera pour "ne plus être la risée de la Champions League", pour reprendre l'expression de John Van den Brom. Les Mauves n'ont plus rien à gagner, sinon un chèque. Et n'ont plus grand chose à perdre non plus, sinon ... un chèque. Bref, ils joueront un amical en attendant un printemps meilleur.
Le temps joue-t-il en faveur du Sporting d'Anderlecht? C'est en tout cas le pari fait par la direction du club bruxellois qui maintient coûte que coûte et déroute après déroute le cap choisi après son 32 ème titre de champion de Belgique, à savoir celui d'un rajeunissement radical des cadres au prix d'une saison de transition. Le prix est certes coûteux : dix défaites en matches officiels lors des quatre premiers mois de la saison (du jamais vu au Parc Astrid), une élimination en Coupe de Belgique et un rôle de figurant, voire de tête à claques en Champions League. Mais de l'autre côté de la balance, les jeunes espoirs de notre champion de Belgique s'aguerrissent, disposent de temps de jeu (sans passer par un prêt) et sont toujours en lice pour la seule compétition qui importe vraiment aux yeux des dirigeants des Mauves : la Jupiler League. C'est même à cette aune-là que sera dressé le bilan et que sera jugé en fin de saison (sauf enchainement catastrophique de résultats avant les playoffs) John Van den Brom, le coach néerlandais voué aux gémonies par les uns, soutenu envers et contre tout par les autres. Et ces derniers ont quelques arguments à faire valoir. Car le pari de la jeunesse est un pari risqué. Si du côté de l'Ajax, la mise parait une fois de plus gagnante, au PSV, par exemple, il tourne au fiasco monumental. Le PSV qui cet été contre Zulte-Waregem avait donné une leçon de fraicheur, le PSV qui avait révélé Zakaria Bakkali et d'autres grands espoirs du club de Eindhoven, le PSV de Philipp Cocu qui avait enthousiasmé les observateurs par son football pétillant et audacieux, aujourd'hui, ce PSV-là est à la dérive la plus totale et joue désormais le ... maintien en D1 néerlandaise. Après la défaite (2-6) de ce week-end contre le Vitesse Arnhem (le club précédent de John Van den Brom), la direction du club de Philips va même jusqu'à envisager désormais le plus sérieusement du monde un scénario de relégation. Or, le Sporting d'Anderlecht n'en est pas là. Loin de là même. Il se situe aujourd'hui entre l'Ajax et le PSV. Selon l'angle de vue, le Sporting tient donc la route autant que la déroute. Insignifiant en Europe, il joue le titre en Belgique avec une équipe qui ne peut que bonifier, prendre du coffre et de l'assurance. Dès lors, un bon résultat ou une belle prestation à Athènes boosterait son capital confiance et pourrait servir de déclic et en tout cas redonner un crédit à John Van den Brom, autre que le soutien aveugle, tenace et obstiné dont il bénéficie aujourd'hui de la part de Herman Van Holsbeeck. Si le match Olympiacos-Anderlecht ne devait avoir qu'un seul enjeu, ce pourrait bien être celui-là.
Le temps joue-t-il en faveur du Sporting d'Anderlecht? C'est en tout cas le pari fait par la direction du club bruxellois qui maintient coûte que coûte et déroute après déroute le cap choisi après son 32 ème titre de champion de Belgique, à savoir celui d'un rajeunissement radical des cadres au prix d'une saison de transition. Le prix est certes coûteux : dix défaites en matches officiels lors des quatre premiers mois de la saison (du jamais vu au Parc Astrid), une élimination en Coupe de Belgique et un rôle de figurant, voire de tête à claques en Champions League. Mais de l'autre côté de la balance, les jeunes espoirs de notre champion de Belgique s'aguerrissent, disposent de temps de jeu (sans passer par un prêt) et sont toujours en lice pour la seule compétition qui importe vraiment aux yeux des dirigeants des Mauves : la Jupiler League. C'est même à cette aune-là que sera dressé le bilan et que sera jugé en fin de saison (sauf enchainement catastrophique de résultats avant les playoffs) John Van den Brom, le coach néerlandais voué aux gémonies par les uns, soutenu envers et contre tout par les autres. Et ces derniers ont quelques arguments à faire valoir. Car le pari de la jeunesse est un pari risqué. Si du côté de l'Ajax, la mise parait une fois de plus gagnante, au PSV, par exemple, il tourne au fiasco monumental. Le PSV qui cet été contre Zulte-Waregem avait donné une leçon de fraicheur, le PSV qui avait révélé Zakaria Bakkali et d'autres grands espoirs du club de Eindhoven, le PSV de Philipp Cocu qui avait enthousiasmé les observateurs par son football pétillant et audacieux, aujourd'hui, ce PSV-là est à la dérive la plus totale et joue désormais le ... maintien en D1 néerlandaise. Après la défaite (2-6) de ce week-end contre le Vitesse Arnhem (le club précédent de John Van den Brom), la direction du club de Philips va même jusqu'à envisager désormais le plus sérieusement du monde un scénario de relégation. Or, le Sporting d'Anderlecht n'en est pas là. Loin de là même. Il se situe aujourd'hui entre l'Ajax et le PSV. Selon l'angle de vue, le Sporting tient donc la route autant que la déroute. Insignifiant en Europe, il joue le titre en Belgique avec une équipe qui ne peut que bonifier, prendre du coffre et de l'assurance. Dès lors, un bon résultat ou une belle prestation à Athènes boosterait son capital confiance et pourrait servir de déclic et en tout cas redonner un crédit à John Van den Brom, autre que le soutien aveugle, tenace et obstiné dont il bénéficie aujourd'hui de la part de Herman Van Holsbeeck. Si le match Olympiacos-Anderlecht ne devait avoir qu'un seul enjeu, ce pourrait bien être celui-là.
Je pense le ressenti de nombres d'entre nous...
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loupnoir34- Censuré ballon d'or
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Points : 8888
Date d'inscription : 27/10/2013
Localisation : ANDERLECHT
Re: Anderlecht n'est pas catastrophique comme le PSV...
le championnat hollandais est plus homogène que le notre, il y a pas longtemps l'AZ a été champion, Twente a joué le haut du panier et cette année Vitesse est en tête .
après l'Ajax et le PSV restent les 2 plus grand clubs hollandais .
D'ailleurs après une domination du PSV au début des années 2000 et l'Ajax ne gagnant plus rien à partir de 2004 à fait sa révolution en donnant des responsabilités a d'anciennes gloires du club, et à revenir aux fondamentaux le 4-3-3, et en s'appuyant un maximum sur la formation, et ils en récoltent les fruits aujourdhui , le PSV lui a fameusement rajeuni son effectif cette saison .
après l'Ajax et le PSV restent les 2 plus grand clubs hollandais .
D'ailleurs après une domination du PSV au début des années 2000 et l'Ajax ne gagnant plus rien à partir de 2004 à fait sa révolution en donnant des responsabilités a d'anciennes gloires du club, et à revenir aux fondamentaux le 4-3-3, et en s'appuyant un maximum sur la formation, et ils en récoltent les fruits aujourdhui , le PSV lui a fameusement rajeuni son effectif cette saison .
magnus- Censuré titulaire
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Date d'inscription : 30/10/2013
Re: Anderlecht n'est pas catastrophique comme le PSV...
deux choses a retenir
1 le psv est a 4 points du top 5 ce n'est pas si catastrophique que ca en ayant perdu leur meilleur joueur (lens)
2 vitesse , qui depuis qu'ils ont perdu leur boulet nomé john , est en tete de l'eredivisie , ca me fais bien rire :d
1 le psv est a 4 points du top 5 ce n'est pas si catastrophique que ca en ayant perdu leur meilleur joueur (lens)
2 vitesse , qui depuis qu'ils ont perdu leur boulet nomé john , est en tete de l'eredivisie , ca me fais bien rire :d
Brugeois- Censuré soulier d'or
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Date d'inscription : 27/10/2013
Re: Anderlecht n'est pas catastrophique comme le PSV...
Quand même Vdb n'a pas de grands joueurs mais je trouve qu'il a montré ses limites
fabriziofab- Censuré titulaire
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Date d'inscription : 01/11/2013
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Localisation : Waterloo
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