Pourquoi les Français sont-ils maudits à Anderlecht?

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Alors que le RMP ne joue qu’avec des Français, le RSCA n’en a eu que sept : aucun n’a réussi.
Samedi soir, c’est un mini-match de Coupe d’Europe qu’Anderlecht jouera à Mouscron. Le RMP compte dix-huit Français dans son noyau A et généralement neuf dans son équipe de base.
Anderlecht, quant à lui, n’a pas une tradition française. Dans son histoire, il a compté six éléments bleu-blanc-rouge, dont six lors de la dernière décennie. Yves Herbet (en 1968) était le premier. Il n’a joué que seize matches à Anderlecht mais présente 23 caps chez les Bleus.
Les six suivants n’ont pas réussi non plus, alors que les Néerlandais, Danois ou Argentins ont marqué l’histoire du club. Pourquoi est-ce que les Français sont maudits à Anderlecht ?
Fabrice N’Sakala et même Maxime Colin ont encore le temps de faire leurs preuves, mais les statistiques du quatuor Ehret, Pujol, Théréau et Pollet - qui ont réussi ailleurs - sont effrayantes. Comment expliquer ces échecs ?
Benjamin Nicaise, le seul consultant français en Belgique, a plusieurs explications. "De un, il y a le problème de la langue. Je ne sais pas dans quelle langue les entraînements se donnent, mais je suppose qu’on parle beaucoup le néerlandais et l’anglais. Cela ne facilite pas l’adaptation. De deux, la culture est différente. Même si la Belgique est un pays voisin, la mentalité n’est pas la même. Surtout à Anderlecht, où il y a une double ou triple culture. Charleroi, Mons ou le Standard ont plus une culture française. Ces clubs me paraissent plus chauds. Et de trois : il faut voir les circonstances de chaque joueur. De tous les Brésiliens qu’Anderlecht a eus, il n’y en a pas des millions qui ont réussi non plus. Ce n’est pas qu’une question de nationalité. Qui plus est, les meilleurs Français sont impayables pour des clubs belges, même pour Anderlecht."
Grégory Pujol est un des Anderlechtois qui ont échoué. "Surtout parce que c’est un grand club européen et que ce n’est pas facile de s’y imposer, avec des internationaux qui viennent de partout", explique-t-il. "Le problème de la langue ? À mon époque, il y avait beaucoup de francophones et Vercauteren parlait le français. Mais il est clair que c’est un handicap de ne pas maîtriser le flamand. Mais je ne regrette pas mon passage à Bruxelles."
Anderlecht, quant à lui, n’abandonne pas le marché français. Vu la crise qui règne dans le football européen, le Sporting a un budget qui lui permet de rivaliser avec tous les clubs français, hormis le PSG, Marseille et Monaco…
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Papin à Bruges, six au Cercle

La Belgique n’a jamais eu des tas de stars françaises évoluant au sein de sa D1, mais il y en a quand même eu quelques-unes. Le plus émblématique fut Jean-Pierre Papin (54 caps chez les Bleus) en 1985-1986 (32 matches, 21 buts). Didier Six (52 caps), lui, a joué au Cercle Bruges en 1980-1981. William Prunier (Courtrai), Nicolas Ouedec (La Louvière) et Tony Vairelles (Lierse) nous ont rejoints en fin de carrière. Récemment, les meilleurs étaient évidemment Eliaqim Mangala et William Vainqueur du Standard.

Looooooool, ils sont pas maudit ses justes des transferts 100% rman, sans aucune intervention du standard, de brugge donc ils sont pourris !

gazzzzzzzzzzzz :gan:

Parce qu'ils ont une grande gueule et que ça ne colle pas avec l'image du club 

Pendant qu'Anderlecht n'a transféré que 7 français un petit club du bord de Meuse les transfère en les achetant en vrac, au poids pour avoir le meilleur prix, la qualité n'étant pas la préocupation première mais bien l'éventuelle plus value à faire.

P. Grandille a écrit:Pendant qu'Anderlecht n'a transféré que 7 français un petit club du bord de Meuse les transfère en les achetant en vrac, au poids pour avoir le meilleur prix, la qualité n'étant pas la préocupation première mais bien l'éventuelle plus value à faire.

Nawak hein une fois de +   ....

Plus facile d'adapter des français même en vrac que vos 50 nationalités.....

loupnoir34 a écrit:

Pourquoi une si grande différence de palmarès entre les 2 clubs alors ???



:jelreb:

On va pas réécrire tout le temps les mêmes histoires hein...


(combien de titres honnêtes...etc...etc...)

Bon, sans déconner.

Avantages : On parle la même langue, proximité pour les familles, championnat moins pourri que le nôtre.

Maintenant, c'est certain que c'est une loterie. Vainqueur, on le regrette déjà, Bulot, c'est bof-bof, Louis, pas utilisé comme il le devrait, Faty, je le trouve meilleur en DC qu'en MD On a eu Gakpé dans le temps, il était le 3ème choix....

Pollet n'est pas français mais belge !

y a un paquet de bon joueurs francais en ligue 1 mais ils ont autre chose a foutre que de venir s'enterrer a anderlecht 

du coup anderlecht achete des colins etc ...